En habillant de lumière la façade de la Halle Maxwell, Nathalie Junod Ponsart sublime l’architecture atypique du bâtiment, qui servait autrefois à produire de l’électricité. Chaudes et
harmonieuses, comme un clin d’oeil au passé, les couleurs projetées révèlent l’âme et la majesté du lieu.